Alain Blaise Batongue

De ma position de Directeur de publication du quotidien Mutations et de gérant du Groupe de presse South média Corporation (jusqu’en février 2012), j’ai dirigé en qualité de président national la section Camerounaise de l’Union internationale de la presse francophone, été élu vice président international de cette institution en même temps que j’étais consultant média auprès de la Francophonie. Ce qui m’a permis, après de nombreux et loyaux services, de garder aujourd’hui encore, des contacts privilégiés avec les médias tant nationaux qu’internationaux.
Depuis un peu plus de 5 ans Secrétaire Exécutif du Groupement Interpatronal du Cameroun (GICAM), la plus importante Organisation patronale représentative du secteur privé du Cameroun, qui assure la défense des intérêts de l’entreprise, et représentant directement ce Groupement comme administrateur dans une quinzaine de commissions, comités et conseils d’administrations de structures publiques, j’ai une vue panoramique sur la situation économique du pays, et une relation encore plus privilégiée avec les décideurs que je côtoie désormais toutes les semaines. Et que j’invite régulièrement à des échanges au sein de notre Groupement.

Récemment élu vice président du Conseil économique, social et culturel (ECOSOCC) de l’Union Africaine en charge de l’Afrique Centrale, j’ai une autre occasion d’assurer un meilleur plaidoyer autour des préoccupations de la société civile et du secteur privé du pays et de la sous région ; mais aussi d’approfondir ma connaissance des dossiers et thématiques d’un Continent de plus en plus courtisé par les autres.
Ces trois positions, ancienne et actuelles, font de moi à 52 ans, un personnage clé dans le plaidoyer de certains sujets propres aux entreprises, dans la connaissance des réalités des administrations publiques et à la planification des dossiers sur l’avenir du continent, et dont les solutions peuvent avoir un impact sur l’environnement des affaires et le développement de l’Afrique.